Les sculptures de Ségolène Romier s’invitent à Belle-Idée et prennent possession des vitrines du Centre de direction.
Ses personnages, immaculés et tout en rondeurs, bien que dépourvus d’expression du visage, semblent animés d’une vie propre. Ils marchent, volent, s’enlacent ou s’attardent, contemplatifs, et même s’ils restent figés dans la masse, on ne peut s’empêcher de les imaginer...
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